À la suite de cette crise sanitaire mondiale, 100% de la population équatorienne a disparu du territoire (décès ou migration de force) due à l’imposante puissance du COVID-19 dans le pays.  

Arif Alvi, chef d’Etat pakistanais, a mobilisé plus de dix milliers d’unités militaires afin de s’approprier le territoire Equatorien.  

Une question subsiste : Pourquoi le président Alvi veut-il ce territoire ?  

Certains émettent l’hypothèse d’une annexion à but expérimental, pour des essais nucléaires par exemple, d’autres pensent à une extension géographique du Pakistan. Des journalistes ont tenté de pénétrer le pays, désormais sous l’emprise du Pakistan, en vain. Les entrées sont interdites pour tout le monde.  

D’après les révélations de la presse pakistanaise, le territoire acquis serait servirait à relancer l’économie du pays. Cependant, cela semble complètement improbable, beaucoup sont d’avis que le Pakistan cache quelque chose.  

Certaines rumeurs disent que ce dernier ment, afin de cacher la fabrication  d’armes de destructions massives (armes nucléaires, armes bactériologique, armes biologiques, armes à énergie dirigée).  

Ces propos inquiètent les continents voisins, comme l’Europe, l’Asie ou encore l’Afrique qui craignent le pire, en sachant que ces rumeurs vont à l’encontre de la convention de Genève, sur les armes chimiques et nucléaires.  

Si bien qu’une réunion du Conseil de sécurité a été programmée par les Nations Unies, afin d’envisager des possibilités d’intervention militaires sur le territoire équatorien. 

 

Rédaction: Pierre Piguet, Maxime, Humbert, Benjamin Michelot