L'entreprise de lutte contre les nuisibles qui intervient pour enlever les chauves-souris ne respectent pas la loi du 17 février 1989 qui interdit de les détruire, de les capturer, de les déplacer, de les naturaliser, de les vendre ou encore de détruire leur gîte sous peine d'une condamnation de 150 000 euros d'amendes et 3 ans d'emprisonnement.

Quand on quitte un lieu, il faudrait penser à éteindre les lumières afin de ne pas vider les ressources alimentaires des chauves-souris.

Pour les protéger, il faudrait mener une campagne de sensibilisation auprès des élèves et des adultes de notre école en réalisant une affiche pour qu'on laisse les taphiens de Maurice en paix. 

Nous, les enfants pour la biodiversité, avons fait appel au groupe chiroptère océan Indien pour nous informer et nous avons décidé de sauver l'espèce en créant un refuge. Il  s'agit d'une propriété privée pour laquelle notre école s'engage moralement à respecter les préconisations visant à garantir la conservation de l'espèce. C'est aussi un label qui protégera nos chauves-souris: patrimoine naturel et symbole de la biodiversité.