Les élèves de 5èA ont dû travailler dernièrement sur la tenue d'un journal de bord, en se mettant à la place de grands navigateurs ou explorateurs. Tout étant permis à l'imagination, dans le travail ci-dessous, le lecteur suivra les pérégrinations d'un voyageur qui non seulement va traverser l'espace mais aussi le temps. Une belle introduction au genre de la science fiction.


1er jour:

Après 10 années de recherche, je terminai de construire ma machine à voyager dans le temps. Je devais absolument aller dans le futur car il y avait une pénurie sur Terre. Avant de partir je fis mes adieux à ma famille car j'avais peur qu’il ne m’arrive quelque chose. Pour ne rien oublier de mon voyage, je me mis à écrire ce journal de bord pour raconter mon histoire aux personnes qui ne me croiraient pas. Le jour de mon départ arriva, je m’installai dans ma machine à voyager dans le futur et j’appuyai sur le bouton de démarrage. Je décidai d’aller sur la planète Andromède encore inexplorée à ce jour.



2è jour:

En arrivant sur la planète, j’étais émerveillé par les paysages environnants. Tout était vert :  le sable, les arbres et les fleurs, ainsi que les animaux. Comme j’étais fatigué, je décidai d’aller me coucher.



3è jour:

Le deuxième jour de mon voyage, je me sentais vraiment seul. Donc j’essayais toute la journée de communiquer avec la Terre. Au bout de quelques heures j’y arrivai enfin. Je réussis à entrer en contact avec mon meilleur ami. Je lui dis que tout se passait bien sur la planète. Je lui décrivis ce que je voyais autour de moi, seulement une petite partie de la planète.



3è jour:

Le jour suivant, je décidai d’explorer les alentours. Tout me surprenait, les paysages encore plus beaux que dans mes rêves. Je voyais d’immenses vallées de plusieurs centaines de kilomètres de long, d’énormes collines et de gigantesques forêts, tout était immense. Je vis beaucoup d’animaux différents, je n’en connaissais aucun. Beaucoup ressemblaient à des chiens ou à des loups. Il y avait beaucoup d’espèces sauvages qui m’étaient inconnues. Les oiseaux  étaient tous d’un vert différent.



4è jour: 

L’avant dernier jour de mon voyage je décidai d’aller plus loin dans la découverte de la planète. Pour cela il fallait que je marche beaucoup. Au bout de quelques heures je tombai nez à nez sur un indigène qui était tout vert lui. Je fis très attention car je ne savais pas s’il était gentil. Quelques minutes plus tard, je décidai de me présenter. A son tour, il essaya d’expliquer quelque chose mais je ne comprenais pas ce qu’il me disait donc je pris « un voice mode » pour traduire. Il indiqua où se situait la ville et m’expliqua aussi son mode de vie:  il n’allait pas au travail, il mangeait mais il ne buvait pas. Il ne portait pas non plus d‘habit. Il m’amena dans sa maison. Ce n’était pas comme je l’espérais mais c’était quand même confortable. Il dormait dans une hutte. Presque tout était comme chez nous. Il n’avait pas de meuble, ni de télé, ni de chambre et il dormait par terre. Il chauffait sa nourriture avec le sol.



6è jour:

Le jour de mon retour sur Terre était arrivé. Je n’étais pas pressé et je ne voulais pas trop y retourner car j’étais bien sur cette planète. Les indigènes étaient très gentils. Mais il était temps pour moi de rentrer et de retrouver ma famille ainsi que mes proches. Je pris plein de photos des indigènes, des animaux et des paysages. Je pris aussi plein d’échantillons d’arbres, de terre et de nourriture. Une fois installé dans ma navette, ils étaient tous là sur le sable vert à me saluer et à me dire au revoir.  J’étais très ému, je ne pensais pas qu’ils me viendraient me adieu.



7è jour:

Je rentrai enfin chez moi sain et sauf. J’étais très content de mon voyage. Le lendemain j’apportai les échantillons aux scientifiques.  Grâce à ces échantillons, ils purent cloner des animaux et certaines plantes, ce qui  permit à tous les habitants de la Terre de se nourrir.


Axel Van Hulle, élève de 5èA.